Les jeunes pigeons-revue

“Comment se fait-il qu’il y a tant de jeunes pigeons qui n’ont pas la condition qu’il faut?” . Ce dernier mois c’est la question que je reçois le plus dans mon courrier électrique et pendant les consultations.
J’ai déjà consacré un bulletin d’infos aux jeunes le mois passé. Quelqu’un qui lit attentivement, peut en soutirer assez d’infos sur les maladies qui affaiblissent les pigeons ces derniers temps.
Pas qu’il n’y a pas ce genre de maladies à d’autres moments de l’année. Mais les circonstances sont plus favorables pour développer des maladies en ce moment. Et les dégâts sont d’autant plus grands.

La saison des expositions

 

Le mois prochain, nous serons a nouveau présent sur divers expositions comme Rosmalen, Ostende et Kassel.

Nous allons prévoir des promotions intéressantes, comme d’habitude. Nous allons aussi introduire des produits nouveaux, comme par exemple L’Huile d’ail Bony et l’Huile de Germe de blé Bony, mais également le Power Glutavit Bony. Ce dernier produit contient un mélange de Protéines de Lait et Multivitamines avec des Oligo-éléments et de la Glutamine pour les muscles.

Nous fournirons certainement aussi toute l’information sur le produit de Base Bony, le supplément idéal pour les gens qui préfèrent une approche plus naturelle.

 

Ornithose- Problèmes respiratoires-Les têtes enflées

 

Les problèmes respiratoires peuvent être vus des points de vue différents.

D’un point de vue scientifique, l’on est surtout intéressé aux pathogènes différents qui enclenchent l’Ornithose. L’on fait donc surtout attention aux divers pathogènes pendant les examens, comme les bactéries, les protozoaires et les virus. D’un point de vue scientifique, il est en effet important de savoir quel pathogène cause quelle maladie.

Mais d’un point de vue colombophile, mais aussi du point de vue d’un vétérinaire colombophile, il est surtout important de contrôler les problèmes respiratoires dans leur totalité. Ceci parce que c’est l’ensemble des pathogènes, combiné avec les circonstances (des pigeonniers, des transports, etc) qui font que la maladie apparaît et dans quel degré. D’un point de vue d’accompagnement médical, il est très important de pouvoir contrôler le Complexe Ornithose dans sa totalité. Ceci demande une approche différente que celle d’un scientifique. Puisque nous n’avons presque pas de cas d’Ornithose dans les périodes plus paisibles, bien que les pigeons entrent aussi en contact avec les différents pathogènes dans ces mois là, nous pouvons conclure que les circonstances ont bel et bien une influence sur l’apparition des symptômes.

 

Ceci démontre que certains conditions doivent se réunir pour pouvoir causer une épidémie. Il est donc logique que l’on peut limiter le taux d’infection et donc les épidémies en adaptant les circonstances. L’on peut améliorer la ventilation, éviter le surpopulation, augmenter l’hygiène etc.

 

Il est donc aussi important de diminuer le taux d’infection pour éviter que les pigeons tombent malade à cause du complexe Ornithose. Et puis, le plus important est d’augmenter l’immunité des pigeons, pour que les pathogènes ne reçoivent aucune chance de se proliférer.